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Archive: travel

What can you do for the future?

Posted by on 23.02.2011 in Culture

Je dois avouer. Je n’étais pas à Lift11 cette année, car très loin le temps d’un voyage en Asie, aux Philippines et à Hong Kong. Ce matin, je me suis enfin résolue à jeter un oeil sur les vidéos des conférences Lift11. Je suis en train de découvrir la présentation de Brian Solis sur le Social Currency, et mafois je dois avouer que son introduction m’a laissée bouche bée.

Dans les premières minutes de son speech, Brian Solis cite JFK lors de son discours inaugural à la Présidence des Etats-Unis le 20 janvier 1961. Cette phrase est resté gravée dans les mémoires.

Brian Solis s’interroge alors sur la fameuse question-slogan de Lift Conference: What can the future do for you? en expliquant que la vrai question aujourd’hui – avec toutes ces extensions sociales du “moi” public, privé et secret qui font notre identité et qui souvent nous précèdent (reputation management!) – est  plutôt de retourner à son avantage cette question et de prendre les choses en main:

What can you do for your future?
It’s in your hands!

– Brian Solis

Il s’agit exactement du propos de la vidéo que MC Casal (@mccasal) et moi-même avons réalisé durant notre voyage en Asie. Le projet a pris naissance en janvier. Nous allions rater cette conférence, mais l’attrait de l’Asie nous semblait un Eldorado à partir duquel nous pourrions certainement faire du live-tweeting. Ce qui n’était qu’une plaisanterie, s’est transformé en tournage avec une bonne caméra HD, pas de repérages, un scénario, des textes à l’arrache (oui!) et une bonne réflexion: de nos jours, nous croyons avoir inventé une multitude de choses, alors qu’elles existent déjà autour de nous sous des formes que nous peinons parfois à (re)identifier: connectivité, co-création, communautés, matériaux, etc.

What can you do for the future? from mccasal on Vimeo.

Le plus important, en faisant cette vidéo, était de lancer un appel à la communauté Lift, bref, la stimuler à prendre les choses en main pour qu’un Lift Asia – qui n’aura pas lieu cette année – puisse être possible en 2012. Chacun peut s’impliquer, chacun peut partager sa connaissance et son expérience et contribuer ainsi à ce futur.

Certains y verront une réponse à Brian, mais depuis les Philippines, même avec une bonne connexion, il n’a jamais été question de passer la journée à regarder la conférence en livestreaming. Pourquoi? La réponse est simple: parce que c’étaient les vacances!

What can you do for the future?

Enjoy, spread and share your thoughts! – yesyoucan@liftconference.com

Quelques images du making of aux Philippines et à Hong Kong.

Du bon usage des médias sociaux
Go where people are! En voyage on se connecte volontiers à son réseau social favori pour partager des informations, qui plus est s’il faut tuer le temps dans un aéroport (c’est du vécu!) ou dans une chambre d’hôtel last minute miteuse à cause d’un capricieux volcan. SWISS est précisément là où ses clients et fans sont, sur Facebook. Etant donné la forte pénétration du marché des smartphones, il y a fort à parier que si vous êtes un malheureux client en stand-by de la compagnie aérienne, Swiss est alors en ce moment à vos côtés, dans le creux de votre main.

La page Facebook de SWISS se rend utile aux passagers déboussolés. Mais que permettent les médias sociaux dans pareille circonstance qu’un site corporate pourrait difficilement offrir… on the fly:

  • mise à jour fréquente du contenu
  • la marque parle et engage la conversation avec les utilisateurs (engagement vertical)
  • les réponses aux questions individuelles sont visibles pour l’ensemble de la communauté: c’est la plus-value de la conversation
  • l’information peut être commentée et enrichie par les autres utilisateurs (engagement horizontal)
  • l’information circule et peut être partagée sur le profil des “followers” ou des “fans”
  • la marque montre qu’elle ‘écoute’ ses clients. Elle augmente ainsi sont capital confiance auprès de ses clients. Elle obtient aussi de précieux insights qui lui permettent d’améliorer l’expérience client.
Quelles sont vos bonnes expériences avec les marques sur les réseaux sociaux?

Il y a quelques jours, Foursquare a fêté son premier anniversaire. Cela fait maintenant plusieurs mois que j’utilise ce réseau de géo-localisation, notamment avec mon iPhone. Une récente visite à New York m’a donné envie de partager mon expérience Foursquare dans cette ville et souligner encore une fois les potentiels de ce réseau social.
Ne nous arrêtons pas à l’aspect rédhibitoire de la géo-localisation avec son effet big brother. Je vous laisse méditer sur le nombre de codes, logins et traces que nous laissons chaque jour lors de nos déplacements, communications téléphoniques, achats, online, etc. qui nous identifient et nous situent dans un espace-temps au quotidien.
Foursquare offre un potentiel relationnel – pour le mot “social” dans “social media” – et commercial exceptionnel. Et pour une fois, il lie habilement réseau social et réalité, soit le digital et l’analogique.
Comment ça marche?

Je rappelle ici quelques notions élémentaires du service: 

  • Gratification au check-in: Foursquare est un jeu qui vous permet de collectionner et gagner des points à chaque check-in, soit à chaque fois que vous indiquez où vous êtes, dans quel restaurant, bar, musée, etc. La personne qui totalise le plus grand nombre de check-in devient le mayor du lieu.
  • Décrocher des badges: sorte de trophée attribué selon le nombre de check-in dans un type de lieu (cinéma, gym, galeries d’art…), ou selon les coordonnées GPS précises (p.ex. badge “Far Far Away”, lorsqu’on dépasse la 59th Street à Manhattan), ou encore suivant un schéma de check-in dans différents lieux de la même marque (par exempe: badge “Jobs”: check-in dans 3 Apple Stores différents).
  • Tips: Contribuer à la communauté en donnant des “tips” pour les lieux visités: les bonnes combines, que faire, quelle spécialité choisir dans un restaurant, etc. Ces recommandations peuvent s’avérer très utiles dans un restaurant dont la cuisine vous est étrangère, mais que vous souhaitez déguster.

Voici le Top 10 des badges les plus populaires!




 

A quoi peut bien servir Foursquare?
Foursquare transforme chaque utilisateur du service en explorateur. Il s’agit du second réseau social qui lie dans sa conception initiale réseau social & mobile. Le premier était Twitter, créé en 2006, avec son site online et un service similaire au SMS permettant de poster un message de 140 caractères. Le nombre de caractères est resté, mais les smartphones et les applications dédiées sont aujourd’hui plus sophistiqués. Twitter permet la géo-localisation du profil et des tweets, mais dans un environnement moins séducteur et au potentiel commercial moindre. Foursquare a bien sûr des concurrents directs tels que Gowalla, Yelp, Brightkite, Latitude.
Pour l’utilisateur:
Foursquare peut s’avérer un guide de voyage. En déplacement dans un ville inconnue où tout reste à découvrir, Foursquare est un allié de taille. Vos “amis” sont des personnes qui vous recommandent “leurs” lieux avec des insider tips.
Disons que vous vous rendez au très célèbre Katz’s Delicatessen à New York (pas besoin de Foursquare jusque-là). Une fois sur place la panique vous gagne. Beaucoup de monde, une carte des mets sur le mur au-dessus des serveurs et aucune connaissance en cuisine casher. Perdus, vous êtes! Quelle est la spécialité du lieu qui fait se déplacer les foules? Aïe l’angoisse, que choisir? J’ai bien un guide de voyage 2010 de la ville, mais aucune indication sur le mets à ne pas manquer! Réflexe Foursquare. Je lis les tips&tricks que chaque membre du réseau (amis ou pas) ont posté sur ce deli. Vu le nombre de commentaires en faveur du Pastrami on Rye, j’opte pour ce plat. Parfait, c’est à mon tour de commander. Et je me régale. Je finis mon repas et contribue à la pérennité de ce plat… en commentant Katz’s Deli sur Foursquare, en date du 21.02.2010.
Plus qu’un guide de voyage, c’est une source d’information crowdsourced qui vous indique ce qui est trend et les bons plans au niveau local et dans l’instant présent. Ce ne sont pas des informations qui datent de 6 mois! Foursquare en complément d’information devient un vrai partenaire qui saura améliorer par petites touches votre expérience de voyage.
Proche, immédiat et utile, telles sont les 3 forces de Foursquare.

 

Pour la marque ou le commerçant:
Nous en sommes encore aux balbutiements commerciaux en Europe. Foursquare est New Yorkais et pour vraiment saisir les possibilités de ce nouveau canal, une visite à New York s’impose. 

  • POS – Café, restaurant, etc. les petits commerçants à la fête: possibilité d’offrir quelque chose (une boisson gratuite dans un café, etc.) au Mayor ou au enième check-in de la journée. Dans East Village, il n’est pas rare de voir un café afficher fièrement sur une ardoise à même le trottoir le nom du Mayor et de son Dauphin et d’indiquer les avantages dont ils bénéficient. Une invitation à participer! Et à venir consommer!
  • MEDIA – Les éditeurs y voient une possibilité d’insuffler un peu d’innovation dans leur industrie. Il sont d’ailleurs les premiers à se lancer dans l’aventure. Zagat et New York Times y vont de leur propre liste de recommandation, de même pour la chaîne de télévision Bravo. Outres leur propres sites et supports, ces marques disposent de pages spéciales sur le site de Foursquare recommandant certains lieux (café, restaurant, expo, concert, boutique, etc.) de la ville et influençant directement le trafic vers ces adresses bien réelles. Les lieux sont taggués par la marque (et non pas par l’utilisateur, pour éviter la tricherie) ce qui permet d’obtenir le badge ad-hoc lorsque l’utilisateur fait un check-in dans un des lieux recommandés.
  • MARQUE GLOBALE: Les marques commencent à entrevoir les possibilités commerciales, de la promotion à la fidélisation. Récemment Starbucks a lancé le “Barista Badge” que l’on peut remporter en se rendant dans 5 différents café de la marque. Le badge ne semble pas être actif en Europe.
On the road or out-of-home
Evidemment la géo-localisation fonctionne dans le ici et maintenant. Plusieurs conditions seront nécessaires:
  • Outil indispensable pour remplir sa mission, un smartphone équipé de l’application Foursquare. L’application vous permet de réaliser toutes les actions listées ci-dessus: check-in, shout (message envoyé à vos amis lors d’un check-in), tips, friend request.
  • On the road signigfie aussi l’indispensable connection à un wifi gratuit ou l’utilisation du 3G. Malheureusement, tous les lieux ne disposent pas d’un wifi gratuit et les wifi publics sont rarement des bêtes de course. Travailler en 3G coûte cher, surtout en roaming, la facture peut rapidement prendre l’ascenseur. C’est du vécu!
In Real Life
New York encore. Lors de mon dernier voyage, j’ai eu la possibilité de rencontrer un planner de PSFK que j’avais rencontré sur Twitter. Il a remarqué que j’avais une activité sur Foursquare précisément à NY et m’a contactée en DM sur Twitter. C’était l’occasion de se retrouver dans le Village pour boire une bonne bière dans un bar… allemand. Une rencontre inspirante et décontractée qui aurait été impossible il y a quelques mois.

Privacy?

La grande question. Comme pour tous les réseaux sociaux, Foursquare ne prendra que ce que vous souhaitez lui donner. Il n’y a pas d’auto-checkin comme avec Google Latitude.
Seul moyen de me “suivre” sur Foursquare: devenir mon ami. Le principe est le même que sur Facebook: les Friend Requests doivent être approuvées. Chacun applique sa propre stratégie. La mienne: à moins que je ne vous connaisse de Twitter, de Facebook ou IRL (in real life), vous serez exclu.
Evidemment Foursquare collecte toutes mes données, mais étant donné que je check-in consciemment (on peut aussi faire un check-in masqué: on collecte les points, mais l’utilisateur apparaît en “off the grid” sur le réseau) et pas forcément régulièrement, le pattern comportemental n’est pas représentatif. Vous me suivez!
Le risque zéro n’existe pas, mais cessons de vivre dans la peur!

Au pays de la promiscuité, un leitmotiv : ne pas troubler l’ordre des choses. Le métro tokyoïte est un lieu de passage où tout le monde s’ignore avec une déférence pour le moins codifiée, affairé qu’il est à pianoter sur son ketaï (téléphone cellulaire), absorbé par la lecture d’un manga ou la tête ballante profondément assoupi.

Depuis plusieurs années, Tokyo Metro tente d’éduquer ses clients avec une campagne d’affichage in situ intitulée “Please do it at home” destinée à rappeler les plus élémentaires principes de courtoisie. Vous y apprendrez comme il est odieux de passer ses coups de fil aux heures de pointes, invraisemblable d’étaler tout son shopping, très mal vu de se refaire une beauté, parfaitement inadmissible de voyager en état d’ébriété avancée et le comble prendre toute la place sur la banquette. L’humour japonais souvent impénétrable aux Occidentaux laisse place à une iconographie dépouillée et ludique. Déjà cité sur ce blog, un exemple de signalétique sur les portes des rames.

Retrouvez ici la série complète des affiches.



 

(via dannychoo)

Alors que Air New Zeland lance une nouvelle classe économique premium avec son SkyCouch, soit une rangée de 3 sièges* pour un couple ou une famille, Air France fait polémique en publiant un règlement discriminatoire concernant les passagers à forte corpulence.

En observant ces deux points de vue au final pas si différents, cela me rappelle que nous ne sommes que de la marchandise à transporter d’un point A à un point B.

Insight
Dans le monde des transports, les consommateurs, lorsqu’ils achètent un ticket, pensent acheter un voyage, alors que les compagnies pensent leur vendre un espace.

Le luxe c’est l’espace

*Un siège en classe économique mesure au mieux 45 cm de large, je vous laisse calculer la longueur de la couchette incroyablement confortable.

(via Boing Boing & Marianne)

Pour réduire leurs coûts, la plupart des compagnies aériennes facturent des services qui jusqu’alors étaient gratuits (= compris dans le prix du billet et invisibles).

Southwest Airline est une compagnie low-cost qui opère sur le territoire américain. Parmi les compagnies aériennes, elle est l’une des marques les plus rentables au monde. A l’instar des compagnies low-cost européennes comme EasyJet, Ryanair, etc. Southern Airlines ne taxe pas compulsivement chaque service à bord.

Avec une communication différenciée au ton légèrement décalé, elle a su gagner en sympathie auprès de personnes qui la choisissent chaque jour. Ici, nulle sophistication (mis à part le spot de 1972, voir ci-dessous), on ne parle pas de rêve, de destination, de largeur de siège, etc. L’accent est mis sur l’expérience en faisant sourire et en mettant le doigt sur ces écueils qui rendent les voyages pénibles… ou inoubliables.

2009. Vidéo. Sur la ligne Las Vegas – Los Angeles, vous aurez droit au Flight Attendant rappeur. Attention des passagers et bonne humeur garantis. Mais aussi un truc à raconter à ses amis. Ce n’est probablement pas comme ça sur tous les vols de la compagnies, mais cette vidéo est devenue virale en peu de temps, offrant à Southern Airlines une exposition exceptionnelle relayée sur la plupart des réseaux sociaux.

2008. Spot. La campagne capitalise sur l’insatisfaction générales des voyageurs au sujet du nombre croissant de services soumis à des taxes et redevances.

2007. Spot. Les services payants seraient-ils l’oeuvre de compagnies sadiques, avec pour seul but de cadrer les passagers afin qu’ils ne bougent pas une oreille durant le vol? A voir la Flight Attendant se délecter de sa logghorée mercantile, on dirait que oui!

1972. Spot. Un spot comme on n’en fait plus. On se croirait tout droit sorti de “2001 – L’Odyséée de l’espace”… Entre le fantasme de la Flight Attendant sexy et un cadrage outdoor sans trucage en bout de piste… pour être synchro avec le décollage de l’avion, cela a probablement exigé un certain nombre de prises.

Lorsque je voyage en train, je ne peux désormais plus me passer de l’iPhone App des CFF. Elle n’est pas parfaite certes, mais elle donne l’horaire et me permet simplement de faire l’impasse sur le distributeur de tickets ou le guichet. Et c’est déjà beaucoup!

L’iPhone App répond aux 3 critères indispensables d’une bonne application iPhone: fonctionnalité, praticité, information. Pour le quatrième critère également indispensable, l’ergonomie, l’application ne semble pas optimale, mais ne s’agissant pas de ma spécialité, je laisserai donc cette critique à d’autres.

Je peux cependant témoigner en tant qu’utilisatrice: L’ergonomie n’est pas optimale, j’acquiesce, parfois mon doigt hésite et je perds le fil pour arriver sur tel ou tel écran. Surtout lorsque le contrôleur débarque dans le wagon et que je dois produire illico ma preuve d’achat, alors là le scannage du QR code est souvent épique!

Cependant et malgré ces désavantages, les qualités organisationnelles de cette application en font un doudou (perfectible certes) pour cet hiver si vous prenez souvent le train, mais pas suffisamment pour vous procurer un abonnement général.

Je n’utilise pas la fonction ”Take me home”, car j’ignorais jusqu’alors son existence. Je ne me suis jamais intéressée à cet étrange bouton situé au coin supérieur droit de l’écran que j’avais d’ailleurs considéré à tort comme bouton ramenant au site mère (homepage) CFF. L’article et le mini-sondage (portant sur 22 interviews, indicatif mais non représentatif) réalisés par Pascal Magnenat, spécialiste interaction homme-machine, me font découvrir que d’autres utilisateurs se posent le même type de questions: Les CFF sur l’iPhone: inutilisable sur toute la ligne? Je constate cependant que ce sondage est intervenu en novembre 2008 (oui 2008!) et je ne comprend pas vraiment ce qui s’est passé depuis. Les CFF ont-ils été contactés? Ont-ils ou vont-ils prendre en considération les remarques ergonomiques et autres? Où en sommes-nous?

Les avantages actuels – fin 2009

Mon distributeur personnel: En cette période de menace virale, l’iPhone App CFF représente l’outil ultime, portable qui plus est, permettant de se procurer un billet de train sans avoir à poser son doigt sur l’écran tactile et nourri des distributeurs de billets situés dans les halls de gare. Bon, faudrait que les contrôleurs cesse de s’emparer des iPhones pour les scanner! On ne sait jamais!

Time is money: Un gain de temps non négligeable, seul ou en prenant en compte la fonction de mémorisation pour les trajets fréquents! Je peux prendre mon billet n’importe quand! Il n’y a plus de course effrénée et d’énervement avec d’autres voyageurs pressés et mal lunés au distributeur ou au guichet. Après un enregistrement préalable avec la création d’un profil complet (credit card oblige!) sur le site des CFF, je peux me procurer le sésame. De plus, sachant que la taxe de base pour l’achat d’un billet à bord – auprès du contrôleur – est passée de 5 CHF à 10 CHF, peu importe la destination, c’est une application gratuite qui vaut son pesant d’or.

Et vous, que faites-vous de cette application?